Entre Touba et la vente clandestine d'armes, il y a une longue histoire d'amour tissée au sein du marché Ocass; sans doute un des plus hauts lieux de négoce du Sénégal et même de la sous-région dans ce type de commerce.
Ici, vendeurs et acheteurs d'armes sont tous des clandestins. La mort cette semaine d'un client tué accidentellement, non pas par le commerçant, mais par sa maladresse, n'est que l'accident de trop.
En réalité, au marché Ocass, armuriers et collaborateurs ont réussi à se frayer une place de choix aux alentours de la zone appelée "Réseau-ba". C'est exactement en ce lieu que sont déroulés les plus gros deals du genre. Les marchandages s'y font astucieusement et la règle établie est celle-ci : "ne jamais vendre n'importe quoi à n'importe qui". Ce slogan vaut son pesant d'or car il permet d'éviter les infiltrations ou d'éveiller les indiscrétions. À côté des vendeurs clandestins, il ya les fabricants clandestins.
Leurs armes sont certes artisanales mais aussi performantes que celles qui sont fabriquées en Europe. Ni les vendeurs, ni les clients ne se soucient de trouver des autorisations légales de vente ou de port d'armes. En effet, à côté de ces armateurs et autres vendeurs, il y a aussi les trafiquants de papiers frauduleux de port d’armes.
Selon un commerçant joint au téléphone, « il s’agit d’un véritable business où l’argent coule à flot ».
Le marché est ainsi devenu, au fil du temps, une plaque tournante pour ce type de commerce. Rarement inquiétées, ces personnes continuent de dérouler tranquillement leur business. La dernière fois qu'ils ont été sévèrement attaqués, c'était le 25 novembre 2014, c'est-à-dire il y a 5 à 6 ans. Dakaractu peut se rappeler que ce jour, un important contingent de pandores appartenant au Groupement d'Intervention de la Gendarmerie Nationale ( GIGN) avait débarqué en plein jour pour faire le ménage. Il s'était agi d'une véritable opération coup de poing déroulée sous un soleil de plomb. Plusieurs trafiquants avaient été arrêtés et diverses armes saisies.
Ici, vendeurs et acheteurs d'armes sont tous des clandestins. La mort cette semaine d'un client tué accidentellement, non pas par le commerçant, mais par sa maladresse, n'est que l'accident de trop.
En réalité, au marché Ocass, armuriers et collaborateurs ont réussi à se frayer une place de choix aux alentours de la zone appelée "Réseau-ba". C'est exactement en ce lieu que sont déroulés les plus gros deals du genre. Les marchandages s'y font astucieusement et la règle établie est celle-ci : "ne jamais vendre n'importe quoi à n'importe qui". Ce slogan vaut son pesant d'or car il permet d'éviter les infiltrations ou d'éveiller les indiscrétions. À côté des vendeurs clandestins, il ya les fabricants clandestins.
Leurs armes sont certes artisanales mais aussi performantes que celles qui sont fabriquées en Europe. Ni les vendeurs, ni les clients ne se soucient de trouver des autorisations légales de vente ou de port d'armes. En effet, à côté de ces armateurs et autres vendeurs, il y a aussi les trafiquants de papiers frauduleux de port d’armes.
Selon un commerçant joint au téléphone, « il s’agit d’un véritable business où l’argent coule à flot ».
Le marché est ainsi devenu, au fil du temps, une plaque tournante pour ce type de commerce. Rarement inquiétées, ces personnes continuent de dérouler tranquillement leur business. La dernière fois qu'ils ont été sévèrement attaqués, c'était le 25 novembre 2014, c'est-à-dire il y a 5 à 6 ans. Dakaractu peut se rappeler que ce jour, un important contingent de pandores appartenant au Groupement d'Intervention de la Gendarmerie Nationale ( GIGN) avait débarqué en plein jour pour faire le ménage. Il s'était agi d'une véritable opération coup de poing déroulée sous un soleil de plomb. Plusieurs trafiquants avaient été arrêtés et diverses armes saisies.
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